Conscience :
mode d’emploi! (06/22)
Géo,
bio, logie… la terre, la vie, la connaissance, tout un programme !
Aie !
Je viens d’évoquer à nouveau une expérience que la lecture de ce texte ne vous
permettra pas de faire ! La géobiologie ! Mais il y a des écoles pour
ça !
Celle
du site dont je regarde la page d’accueil est typique des vulgarisateurs
maladroits ! Pour justifier leur « art » en prenant des références,
culturelles snob mais douteuses, ils parlent d’Hippocrate comme le « père
de la médecine moderne », comme si la médecine hippocratique avait le
moindre rapport avec notre allopathie… Je préférerais vous envoyer chez
Stéphane Cardinaux ou son complice Steeve Di Marco !
Ces
deux Suisses organisent, chacun de leur côté, des stages de géobiologie
(geniedulieu.ch pour Stéphane, et esprits-de-la-foret.ch pour Steeve), pour
vous donner l’occasion de rencontrer leurs « esprits de la nature »,
les « élémentaux » dont parlaient nos ancêtres : les fées, les
farfadets, les nains, les lutins, les vouivres, les licornes, les elfes, les
sylphes, les salamandres…, et les « tubes magiques » dont Cardinaux
affirme, non sans raison, qu’ils ont été faits par des hommes.
Comme
vous n’y croyez pas, laissez moi vous raconter comment Cardinaux convainc ses
sceptiques… Quand il repère une tube relativement court (quelques dizaines de
mètres), il se met à une de ses extrémités et demande au sceptique de se placer
à l’autre en lui indiquant, bien sûr, où aller se mettre puisque le tube ne se
voit pas, ordinairement. Quand sa victime est en position, Cardinaux donne une
bourrade à son extrémité du tube et l’autre reçoit un coup dans l’estomac qui
va jusqu’à le faire tomber. Et voilà comment le sceptique est con-vaincu !
Ah, les coups de pouce de la « langue des oiseaux » des hermétistes, à la langue française !
Ces
tubes forment un réseau qui relie des lieux de cultes depuis, au moins, l’Âge
de Bronze, le Dvapara Yuga. Mais
Steeve nous en a montré un, entre une petite chapelle sur une colline et
l’autel de l’église du patelin d’à côté, situé quand même à quelques kilomètres,
et en traversant une forêt, mais aussi le mur de la chapelle, une partie de la
colline, les maisons autour de l’église et les murs de celle-ci pour arriver à
l’autel. Car l’objectif premier de ces tubes n’était pas de faire tomber des
gens à la renverse ! Quand vous êtes au bout d’un tube et que vous
regardez « dedans », vous voyez ce qui se passe à l’autre bout comme
si vous y étiez ! Et on peut imaginer que le tube que montrait Steeve
servait à « surveiller » ce qui se passait dans l’église !
La
participation à leurs stages permet à des gens qui n’en ont aucune expérience
de « rencontrer » les esprits en question, probablement parce qu’il y
a une sorte de contagion émanant du groupe ? Allez savoir !
En
ce qui me concerne, après 4 jours de crapahutage dans les Vosges avec Stéphane,
j’ai vu, entre autres, une bande de nains rigolards se fendre la pèche, une fée
décoller du rocher ou je l’avais dérangée en voulant m’y asseoir…
Di
Marco de son côté nous a emmené à côté d’une chute d’eau dont il avait
convaincu les « esprits » de venir se placer au dessus de petits piquets
qu’il avait installé sur un sentier. En se plaçant au dessus de ces piquets
« habités », on ne fait pas que voir, on ressent aussi des actions
« physiques » comme une poussée déséquilibrante tendant à faire
tomber en arrière… Le plus déstabilisant, c’est que les participants sont
souvent d’accord sur leurs visions, ce qui confirmera les adeptes de
l’imaginaire dans leurs convictions. Seulement, dans le meilleur des cas, il
s’agirait alors de télépathie, ce qu’ils refusent aussi…
Parce
que ces « créatures » ne sont pas là que pour le décor : on peut
leur « parler » par télépathie et ils peuvent nous renseigner
(Stéphane se sert beaucoup des indications de ce qu’il appelle les
« gardiens des lieux »…), ou plus généralement nous rendre des
services.
L’ambiance
actuelle de la géobiologie se tourne davantage vers le « quantique »
que vers la radiesthésie de ses débuts modernes, et Cardinaux est un grand fan
du GDV (Gaz Discharge Visualization), un bidule russe composé d’un capteur à se
mettre sur un doigt et qui se branche sur un ordinateur où un logiciel vous
montre l’état de vos chakras ou de votre aura. Le GDV existe maintenant sous
forme de caméra ce qui permet de suivre les résultats des thérapies appliquées
au patient en temps réel.
De
la même eau, et venu des mêmes pays, des outils utilisant la biorésonance
(Biospect, physioscan… et autres) permettent de diagnostiquer l’état d’un
patient, et parfois de le traiter, ou en tout cas, d’indiquer un traitement qui
lui soit approprié. Les Russes ont aussi identifié des phénomènes de
bioluminescence, mais la seule application pratique dont j’ai eu connaissance
est la nourriture de l’humus par les orties… Ces outils presque inconnus en
France sont très prisés en Suisse, en Allemagne et en Belgique, mais Internet vous
donnera des détails !
Leur
qualification « quantique » n’est pas complètement fausse, mais je
réserve, quant à moi, ce qualificatif à des méthodes moins « matérialistes »…
Parce qu’au fond, tout a un aspect quantique (spirituel) à bien regarder… on peut
juste utiliser plus ou moins tel ou tel domaine de l’univers… La médecine peut
être physiologique, psychosomatique ou quantique, par exemple ! D’ailleurs
les anciens Grecs avaient déjà soupçonné ce domaine… Ils avaient compris
que : « Si on se sert de l’univers pour étudier l’univers, on ne peut
connaître que les interactions dans l’univers ». Ce qui se traduit
aujourd’hui par l’« axiome d’incertitude » de Heisenberg, c’est tout
de même plus ésotérique et ça a l’air bien plus sérieux ! Quoique, baser
la science sur l’incertitude, ça a l’air assez couillu, mais on y reviendra !
Et donc s’il y a un domaine qui échappe aux possibilités de mesure puisqu’il n’y
a : « de science que du mesurable ! », ça la confine au domaine
misérable des mécanismes frustes de mécanisation. Ce domaine probablement
méprisable et ignoré sera omniprésent et RESTERA DÉFINITIVEMENT INCONNU, puisqu’une
mesure utilise bien l’univers pour tenter de le connaître ! Et ce n’est
pas en lui donnant un (nouveau) nom qu’on en saura plus ! Car il en avait
déjà un : le domaine spirituel !!! Et qui est forcément là, pour une
toute autre raison (métaphysique) : sans lui, pas d’univers
matériel !
Pour
sourire un peu, le texte de Wikipedia sur la géobiologie déclare qu´elle est
« sans fondement ». Le trou-du-cul anonyme qui l’a rédigé s’y connaît
évidemment en « fondements » ! Et si le mot « wiki »,
hawaïen d’origine pour parler de quelque chose de rapide, peut se traduire par
« What I Know Is », on
peut dire que ce collaborateur aurait eu intérêt à cacher qu’il n’y connaissait
rien… ou qu’il a été beaucoup trop vite !
À
nouveau, ce n’est pas avec un simple texte que je peux vous faire expérimenter
que l’on peut avoir conscience de bien plus que des « réalités
physiques », ou en prendre conscience dans des circonstances
inhabituelles. Mais, à nouveau, ça ne vous empêche pas d’imaginer ce qui est
décrit… ce qui serait déjà beaucoup mieux qu’une expérience physique manquante.
Bien
sûr, les créatures des forêts dont on peut avoir conscience, sont rarement plus
matérielles que les reflets dans notre lac, mais ignorer leur existence et la
possibilité de leur manifestation conduit les esprits forts à des conclusions
hypothétiques et plutôt scabreuses, comme les célèbres « reptiliens »
du non moins célèbre David Icke, qui aurait mieux fait de se contenter de jouer
au football, sauf en ce qui concerne son compte en banque, probablement… Encore
que considérer la « réalité physique » comme une « cyber
réalité » pourrait se défendre si on était sûr de l’idée qu’il se fait de ce
qu’il parle…
Même
si on peut faire remonter la géobiologie bien plus loin que le prétend le site
que j’évoquais, une de ses pratiques récentes en Occident était la radiesthésie
que je viens d’évoquer, et il se trouve que le papi dont on parlait guérissait
des quantités de cancéreux grâce à son pendule ! Et à distance, depuis
chez lui…
En
bon ingénieur des chemins de fer, il avait évidemment « calculé » « scientifiquement »
le pendule en question, et perdait son temps à envoyer à des sommités médicales,
les dossiers minutieusement constitués prouvant les guérisons qu’il obtenait,
dossiers qui n’ont jamais provoqué de réaction ! Ne dérangez pas les
« gens qui savent », pauvres crétins !
L’attitude
du corps médical a quelque peu changé depuis, plusieurs hôpitaux utilisent les
talents de « coupeurs de feux » pour pallier aux effets secondaires
(brûlures) des radiothérapies subies par les cancéreux. Il y en a eu des
reportages à la télé. Là aussi ça se passe à distance… sur la base du nom du
patient et de sa date de naissance…
Notre
papi a eu le mauvais goût de vexer un de mes contacts spéciaux de l’époque
(appelons le Gégé) ! Gégé a alors tripoté les photos d’identités des
patients du papi qui se trouvaient sur une table, photos dont ce dernier se servait
pour « accéder » à ses « clients », et les soigner à
distance, et en a fait trois tas : « Ceux-là, ils sont presque
guéris, ceux-là, tu viens de les recevoir, c’est trop tôt…, mais ces 4 là, te
posent un problème ! Pour les autres je ne sais pas, mais celui-ci ne veut
pas guérir : tu devrais le traiter dans son sommeil vers 3 heures du
matin ! ».
Papi
avait-il été traumatisé par sa récente découverte de la parapsychologie avec sa
mamie (pourtant il était radiesthésiste !), mais il a cru Gégé, et lui a
obéi ! Et papi s’est levé toutes les nuits à 3 heures, pas pendant très
longtemps : le malade était guéri 15 jours plus tard ! Preuves
médicales (et inutiles…) en main.
Gardez
tout de même un souvenir de ces possibilités de nos consciences, au cas où il vous
arriverait des expériences de ce genre-là…