L’Occident malade de
l’Allopathie !
Maladie contagieuse qui s’est étendue à toute la
planète ! Ce post a été inspiré par un article du numéro 103 du magazine
Nexus sur le sur-diagnostic de la Maladie d’Alzheimer. Il reprend certains
éléments du post que j’ai consacré à ce numéro !
L’allopathie n’est pas
qu’un système thérapeutique, c’est une façon de penser psychotique qui a
provoqué bien des dégâts et des décès…
Il faut remonter à
Aristote et à sa manie des catégories. On prend un paquet de trucs un peu
hétéroclites, et on en fait des sous-paquets, généralement arbitraires,
auxquels on donne des noms !
En médecine, ça
s’applique en faisant des listes de symptômes réunis dans des assemblages
mûrement réfléchis (ou pas), et on leur donne un nom de maladie. En fonction de
quoi le médecin va « soigner des MALADIES » (en fait combattre
les « maladies » qu’il vient d’inventer !) alors que TOUS LES
AUTRES systèmes thérapeutiques (hippocratique, ayurvédique, traditionnel
chinois, spagyrie, homéopathie, dianétique, anthroposophie, etc.) vont soigner
des MALADES…
Si en consultant des
textes de ces pratiques vous tombez sur des noms de maladie ou d’organes, vous
saurez qu’ils ont été écrits par des Occidentaux ou des débris intoxiqués par
des Occidentaux. Car la psychose allopathique touche aussi le besoin de
considérer les organes comme s’ils étaient indépendants, un peu comme les
morceaux de viande chez le boucher, sauf qu’alors ils ne sont plus très
vivants ! Un allopathe inspiré (René Leriche) a même déclaré que « La
santé c’est le silence des organes ! ». La mort aussi, mais il paraît
que cette citation a été amputée… l’original serait : « La santé
c’est la vie dans le silence des organes » ! J’ai du mal à voir en
quoi c’est plus intelligent ! Comme si un organe vivant était
silencieux !!! À moins que ce soit le médecin qui soit sourd !
Mais les catégories
aristotéliciennes ne sont que des vues de l’esprit comme l’illustre le
prodigieux ornithorynque ! C’est un oiseau puisqu’il a un bec de canard et
qu’il pond des œufs, c’est aussi un mammifère puisqu’il a des poils, et qu’il
donne du lait à ses petits, et c’est un farceur puisqu’il pèche les yeux fermés
en « regardant » avec son bec ! Et c’est un poison puisqu’il est
toxique !
Même dans les cas où on
pourrait penser avoir un VRAI critère de regroupement, comme avec un classement
alphabétique des auteurs dans une bibliothèque, ça ne marche pas. Quand
Mademoiselle Atchoum devient Madame Zombi, où classe-t-on ses bouquins ?
Et quand un livre est collégial, quel est l’auteur dont le nom va servir au
classement ?
Ce n’est que depuis les
moteurs de recherche de l’informatique qu’on se fiche de classer les bouquins
et de la façon dont les moteurs se débrouillent, en utilisant, d’ailleurs,
plutôt des algorithmes et des logiques « floues », que des
classements.
J’aime rappeler que
Korzybski pensait avoir « démontré » que les maladies étaient des abstractions et que ce mot ne
recouvrait rien de palpable, alors que le mot « malade » décrivait
parfaitement l’état de santé, pas idéal, de l’individu concerné. Or ce dont on
se souvient de ce Comte, c’est que « La carte n’est pas le
territoire ! », ce dont tout le monde se fout… sauf les pilotes qui
volent « à vue » et qui savent qu’il vaut mieux se baser sur ce
qu’ils voient de la campagne pour identifier les dessins de leurs cartes
géographiques, que l’inverse.
Mais le message
principal et complètement loupé de notre Alfred, c’est qu’il est
primordial d’avoir la « CONSCIENCE D’ABSTRAIRE ». Sauf qu’il aurait
dû examiner un peu plus attentivement que le simple fait de donner un nom à
une chose est déjà une abstraction et c’est surtout de celle-là qu’il
aurait dû s’occuper pour nous rendre service. Au lieu de ça, il faisait
remarquer qu’on ne prend pas « LE train », mais « UN
train » ! Et ses émules, praticiens de sa Sémantique Générale, en
sont réduits à des jeux de mots qui ne fascinent qu’eux ! Comme par
exemple quand ils font remarquer à un vétéran de la Grande Guerre qui tient à
ce que les : « Couleurs de la France soient Bleu, Blanc et
Rouge », que ce n’est pas le cas « vues d’avion » ! Jouer
sur l’ambiguïté du contexte, qu’on n’indique pas, est pitoyablement puéril et
permet à ceux à qui on veut montrer qu’ils sont cons, d’être persuadés que
c’est le Sémanticien qui devrait arrêter ses pratiques alimentaires toxiques…
Allopathie, la recherche de la
petite bête !
Un gros coup de pouce a
été donné à Aristote par l’allopathe René Descartes avec sa suggestion que la
« big picture » est trop compliquée et doit s’étudier en en étudiant
ses « composants » (ce qui suppose qu’il peut y en avoir, comme si un
organisme était comparable à une pendule pleine d’engrenages
démontables !). En pratique si vous voulez étudier quelque chose commencez
par la démonter (c’est-à-dire la détruire !) et examinez les débris !
Quelle méthode géniale !! Tuez le malade et l’autopsie le guérira :
la preuve il ne se plaint plus…
Et quand quelqu’un est
malade, il arrive que l’on trouve des bricoles dans son corps, bactéries, virus
ou mycéliums. Et l’allopathe jubile : il va pouvoir s’occuper de combattre
ces enquiquineurs et ne plus avoir à s’occuper du malade proprement dit.
On vous a appris à
l’école que les globules blancs se nourrissaient des bactéries et autres
microbes ! C’est parfaitement faux. Ils SONT LA FORME SOUS LAQUELLE ON
RETROUVE LES BACTÉRIES dans un milieu au pH (acidité/alcalinité) à 7.2 et au rH2
(oxydation) vers 28, correspondant à un sang humain en bonne santé, comme l’ont
vérifié Louis-Claude Vincent et quelques autres. Mais les allopathes chargés de
vous bourrer le crâne ne vont pas vous expliquer qu’il suffit de ramener les
coordonnées du sang aux valeurs normales pour se débarrasser des ennemis qu’ils
croient devoir combattre. Autrement dit ce qu’ils appellent la phagocytose des
globules blancs est en fait une cytogenèse.
En fait, que l’on parle
de « bourrage de crâne » ou de « lavage de cerveau », on
est en train d’utiliser un vocabulaire allopathique ! Il vaudrait mieux
parler de bourrage du mental avec des déchets putrides, parce que le cerveau
n’a pas grand chose à y voir ! Et si c’était le mental qui était lavé,
nous serions en excellente santé, pas seulement psychologique, mais spirituelle
et physique, ce qui n’est pas souvent observable. Les méthodes thérapeutiques
évoquées plus haut savent qu’un corps humain vivant est L’APPARENCE D’UNE
COMBINAISON d’un corps, d’une âme (le mental) et d’un esprit. Mais leurs
praticiens se fichent de ce genre de détails, puisqu’ils savent, qu’avec leurs
pratiques, ils s’occupent de tout à la fois ! Nous on a des toubibs pour
le corps, des psys pour l’âme, et des curés et des politiciens pour le reste…
La psychose
allopathique a aussi sévi en psychologie ! Où on va encore y chercher des
« maladies » ! Alors laissez tomber les « complexes »,
« névroses », « psychoses » (y compris l’allopathie qui
n’est finalement qu’un mot de plus…) : Si vous vous mettez entre les mains
d’un psychologue ou d’un psychanalyste, une fois transformé en légume
apathique, vous vous croirez probablement guéri puisque vous aurez atteint ce
fameux « silence des organes » (ceux de votre âme), et c’est vrai que
vous n’aurez plus de problème… autre que de retrouver votre vie… Un mort aussi
ne souffre plus !
Mais on ne peut pas
parler d’allopathie, pas plus en tant que doctrine thérapeutique qu’en tant
qu’état mental pathologique, sans évoquer cet autre idole moderne et escroc
allopathique : Louis Pasteur ! Comme si c’était nécessaire pour un
allopathe, à l’ouest par nature, d’en rajouter, il a passé sa vie à tricher
avec ses expériences et à plagier ses confrères, comme Antoine Béchamp. Sur son
lit de mort, Louis aurait avoué, « C’est Béchamp qui a raison, le microbe
n’est rien : c’est le terrain qui est tout ! » En attendant les
allopathes de son époque ne pouvaient pas comprendre les travaux de Béchamp, et
grâce aux allopathes diffuseurs des lycées et collèges, on est tous atteints
d’allopathie.
Regardez ce que je vous
montre : vous ne me verrez plus !
C’est l’histoire du
sage qui montre la lune et de l’idiot qui regarde son doigt, mais à
l’envers : si votre « sage » est un allopathe, ce qu’il vous
montre est pour vous distraire ! Dis-traire, c’est « tirer hors de la
voie » : dérouter… Voilà pourquoi ils sont si forts et si
appétissants !
Mais au delà des
aspects sémantiques qui montrent l’inanité des classifications, l’allopathie a
un inconvénient bien plus grave, et qui la « sauve »
bizarrement ! Elle se polarise sur ce qui ne marche pas pour lui donner
des noms d’oiseaux.
Résumé
Allo !
Pathie ? (sans laisser d’adresse) Une tournure d’esprits pour malades, à
utiliser sans modération, pour généraliser les catastrophes ; ce post est
un dispositif médical ! On commence par les dégâts en physiologie et en
psychologie…
Une capacité humaine qui ne date
pas d’hier…
Une pratique qui
remonte à Adam : ce dernier donnait des noms pour faire exister les
choses !
Donc c’est
génétique : si nous inventons le mot « grippe », la grippe
existe. Le mot « cancer », et le cancer existe ! Le mot
« démocratie », et la démocratie essaie d’exister ! Le mot
« égalité » et les mecs aussi pondent les gosses !! Le mot
« liberté » et tout le monde l’attend d’un gouvernement, puisque la
liberté existe : on peut en parler… Le fait qu’on ne voie pas que le job
d’un gouvernement est précisément D’ÉTABLIR LES LIMITES DE NOS LIBERTÉS (donc
de nous garantir de la
bousiller) pour nous permettre de vivre en société, ne vient que de ce que nous
avons oublié que le mot « liberté » n’était qu’une abstraction, et
qu’il aurait fallu en examiner le contexte !
En tenant compte de ce
que tous les mots sont des abstractions, passez en revue tous les termes du
vocabulaire politique et voyez comment vous vous êtes fait manipuler.
Même chose avec le
vocabulaire médical, puis scientifique, philosophique, puis même religieux.
Que vous
reste-t-il ? D’avoir compris que les mots vous manipulent quelque soit
le sujet…
Plus précisément qu’ils
sont les outils de base et indispensables des manipulateurs (dont l’arsenal
s’est complété depuis de l’illustration des livres scolaires prônée par le
Protocole des Sages de Sion, réputé être une arnaque, mais dont toutes les
« prévisions » se sont réalisées !) Et depuis l’image s’est
animée, et on a des jeux vidéos pour garantir la diffusion de
l’allopathie !
Revenons au fait de
vous polariser sur les maladies improbables plutôt que de VISER LA SANTÉ !
Autrement dit de vous centrer sur les détails de ce qui ne marche pas plutôt
que de viser le but que vous voulez obtenir ?
Et c’est comme ça que
l’allopathie peut poursuivre sa course dévastatrice : l’arbre cache la
forêt ! Le gros détail qui ne
va pas du tout, C’EST L’ALLOPATHIE ELLE-MÊME, ce dont vous ne vous
apercevrez jamais puisqu’on vous dit de regarder ailleurs.
Allopathie et racisme !
Aucun rapport ?
Ben si ! Ce n’est pas la bonne femme en face de vous qui est stupide,
c’est parce qu’elle ressemble à la catégorie des manouches, que vous allez
craindre pour votre sac à main. Donc vous ne JUGEZ pas celle qui vous fait face
(ce qui serait très vilain), vous SAVEZ que ce n’est pas de sa faute si elle
est tarée !
Souvenez-vous, –si vous
êtes assez vieux pour ça– de l’époque des blagues Belges ou des rigolades aux
frais des « Blondes ». Tous les Belges ne sont pas nécessairement
cons au point de tailler des pipes au Manneken-Pis, ils ne boivent que de la
bière… c’est tout aussi connu ! Et toutes les blondes ne sont pas
forcément des godiches ahuries, enfin je veux dire que si elles sont ahuries
elles ne sont pas forcément des godiches !
Vous voyez comment ça
marche !?
Pour mettre une blonde
dans la catégorie des blondes, c’est facile, à moins que vous soyez daltonien.
Pour déterminer ce qui vous permet d’étiqueter une manouche, c’est beaucoup
moins précis.
Et regardez cette
catégorie bénie : les Sémites. C’est d’autant moins facile d’être sûr
qu’un mec est juif (s’il n’a pas mis sa kippa !) que depuis le Moyen Âge
la plupart des juifs sont des caucasiens descendants des Khazars et rarement
sémites, et l’antisémitisme qu’on brandit comme une marque de honte, est
surtout une évidence d’imbécillité… Il faudrait en fait parler d’anti-judaïsme,
une caractéristique bien plus délicate à repérer, sauf à guetter à la sortie
des synagogues… Mais ce serait un jugement religieux, très vilain aussi, alors
que l’antisémitisme vise une race dont les nazis ont montré que c’était pas
bien de vouloir s’en débarrasser. Autrement dit depuis quelques siècles, un
antisémite est un antiarabe, ce qu’à Dieu ne plaise !
Combien de victimes le
racisme de l’allopathie a-t-il fait ?
Allopathie et politique !
Alors là, c’est
l’extase !
Pour un mec frappé
d’allopathie, il faut trouver des ennemis, quitte à les fabriquer. Pour le
manipulateur de base, c’est facile de faire croire aux nombreux pauvres que les
quelques riches sont à tuer. D’autant qu’étant le plus souvent sans le sou
eux-mêmes, puisqu’ils ne savent rien foutre d’autre que manipuler et que c’est
difficile à vendre et à faire des sous avec ce genre de « produit »,
ils ne risquent pas de subir la vindicte des masses laborieuses, dont ils ne se
montrent pas les ennemis… mais leur font croire qu’ils sont leurs
protecteurs !
L’idéologie de gauche
semble être née de la généralisation des mauvaises pratiques de quelques
seigneurs ou patrons pour vendre aux pauvres la nécessité de les protéger
contre ces salauds.
Je ne conteste pas que
certains abusent de leur pouvoir ou de leur autorité, mais j’ai aussi connu un
certain nombre de patrons adorés par leurs employés. Des petits patrons,
généralement, qui géraient leur affaire en bon père de famille ! Et j’ai
aussi rencontré pas mal d’employés tricheurs. Or, a-t-on besoin de présenter
l’autorité comme une maladie ? Ou devrait-on plutôt viser l’harmonieuse
efficacité des groupes humains qui s’occupent d’accomplir une tâche
commune ?
Évidemment ce ne sont
pas les gens qui se proclament de gauche qui vont se souvenir que « Toute
maison divisée contre elle-même va périr ! » Et donc que la dernière
chose à faire c’est d’opposer les patrons et les employés et d’attiser leurs
différents éventuels. Ou de faire mousser n’importe quelle opposition
d’ailleurs. Comme avec le racisme…
C’est en train de
rentrer dans les mœurs, grâce au projet de droit du travail d’El Khomry :
le petit peuple de gauche interviewé à la télé s’aperçoit que l’idéologie à
laquelle ils ont cru et qu’ils suivent depuis quelques siècles, quitte à se
battre et à mourir pour elle, est une machine à fabriquer la pauvreté !
Sauf que l’allopathie médicale est remboursée par la sécu, alors que l’allopathie
politique, elle, est pour votre tronche !
Signe des temps ?
Des manifestants ont placardés des jeux de mots sur le nom de la sinistre du
travail en disant que « Elle connerie, il faut qu’elle
Valls ! » ? Le respect se perd autour de Hollande… Étonnant, non ?
Cette histoire de sécu
aussi est intéressante à propos de chercher ce qui cloche… Ce n’est pas le fait
que vous soyez malade qui pose problème, c’est le fait que ça puisse vous
coûter des sous !
Allopathie : pour que les
agriculteurs soient bien élevés !
Donc on va encourager
les paysans à devenir riches en fabricant de la bouffe toxique puisque de toute
façon le malade ne paie plus rien (enfin… heureusement il y a les mutuelles…),
et l’amusant, c’est qu’en parallèle avec les larmes qu’on nous a fait verser à
propos du Salon de l’Agriculture qui nous montrait des paysans :
« Qui nous nourrissent, alors qu’ils meurent », nous avons appris que
ceux qui s’en sortaient était ceux qui s’étaient mis au « bio »,
c’est-à-dire qu’ils avaient enfin compris qu’avant de devenir riches il leur
fallait nourrir la population pour en garantir la santé. Il y a 50 piges, quand
on « bouffait bio » on passait pour des cons rétrogrades auprès des
crétins qui préféraient fièrement s’empoisonner puisque la sécu payait tout (et
à l’époque il aurait été mal vu de demander à un fumeur d’aller s’intoxiquer
dehors tout seul), et les agriculteurs qui se sont mis au bio à ce moment-là
ont été ridiculisés par leurs confrères, et jusqu’à maintenant en tout cas…
En visant la bonne
santé plutôt que les « risques » de famine par sous production, on
aurait pu éviter de bouffer des poisons, car c’était déjà possible de faire du
bio, plutôt que de croire augmenter la production (et le revenu) grâce aux
engrais et à leurs copains (pesticides et insecticides, encore des trucs pour
tuer les ennemis des allopathes), non seulement autorisés, mais encouragés par
le gouvernement, forcément « génial », puisque démocratique.
À l’époque, et malgré
quelques voix discordantes qui annonçaient l’empoisonnement, non seulement des
consommateurs, mais aussi des sols dont on va hériter pendant des années
encore… on s’est bien gardé de signaler aux agriculteurs qu’ils feraient aussi
partie des victimes, puisqu’ils connaissaient tellement mal leur métier qu’ils
ne le voyaient pas eux-mêmes !
La culture aussi (pas seulement des
histoires de plantes) est victime de l’allopathie !
Aujourd’hui les
rendements du bio valent ceux de la chimie mais les sols sont agonisants et les
famines redoutées risquent bien de survenir grâce aux solutions allopathiques
qui ont explosé avec Justus von Liebig. Les nouvelles pratiques qui utilisent
des ensoleillements, des climats et des arrosages artificiels, contrôlés et
optimisés, mettent un point d’honneur à faire dans le bio et le renouvelable,
on leur devra peut-être notre survie si les assassins du chimique ne leur
mettent pas trop de bâtons dans les roues ! Voyez les deux gars d’Agricool
qui fait pousser des fraises dans un container de 24 m2 en bas de
chez vous, l’équivalent d’un demi-hectare de culture ordinaire, et toute
l’année, et elles sont bien plus fraîches que les fraises récoltées blanches et
mûries pendant le transport !!! Et les bourdons pollinisateurs sont leurs
colocs ! Une variation de SDSC (Semis Direct Sous Couvert) ! Vous
savez tout ! Le reste est sur le Web !
Mais comme on l’a vu,
l’allopathie en tant qu’état morbide, remonte à Aristote, et donc les
allopathes avaient déjà remarqué la nécessité d’apporter du NPK pour
« fertiliser » les sols, comme le font les cadavres et les crottes
d’animaux dans les forêts, mais jamais en aussi grande quantité que depuis
notre chimiste ! C’est le seul bug de Agricool : il n’utilisent
apparemment pas (encore) d’oligoéléments, donc on risque des carences. Mais ils
viennent de débuter, ils ont le temps de remédier à tout ça compte tenu de
leurs façons de réfléchir et de travailler !
Mais revenons aux
entreprises. Quand une entreprise se vautre, les employés sont généralement
moins bien barrés que les patrons qui ont le plus souvent des sous « à
gauche » (sic) ! Donc la meilleure façon d’aider la piétaille, c’est
de garantir la survie de la boîte par tous les moyens. Et sûrement pas de
monter la base contre le sommet ! Ce qui n’a pas empêché des patrons de
gauche de faire fortune en profitant de la niaiserie induite par le système
syndicaliste. Les salauds ne sont pas tous à droite et les cons à gauche… il y
a des cumulards. L’existence même des syndicats est le signe que le conflit est
obligé de perdurer et que les intérêts individuels (des patrons comme des
salariés ou des idéologies des syndicats) doivent primer sur les intérêts de
l’entreprise. En fait ils ont été créés pour protéger les (mauvais) patrons des
envies d’assassinats de leurs salariés, en faisant croire à ces derniers que
c’était pour les protéger des exactions patronales !!! Tordu, mais
futé !
Combien de vies
détruites grâce à l’allopathie politique ?
Allopathie : les
« droits » de la gauche sont assez maladroits…
Terminons par un autre
résultat de cette allopathie : l’insistance sur les droits et le silence
sur les devoirs. Les droits doivent forcément être les détails menacés dans la
vision borgne d’un allopathe, et il faut donc les défendre ! Ne serait-ce
que par « principe de précaution » (encore un fruit de la psychose
allopathique). En attendant, ce sont les devoirs accomplis qui sont
productifs ! Donc c’est plutôt sur eux qu’il aurait fallu se concentrer.
Dire qu’il y en a
encore qui s’imaginent que la France est un phare pour le globe terrestre.
Souvenez-vous de l’allure fanfaronesque de Hollande quand il visitait les pays
lors de son tour du monde… La plupart des Américains savaient qu’ils passaient
pour des crétins à l’époque du fils Bush, mais nous, on a juste le droit de
pleurnicher devant les pubs de TF1 qui nous invite à « partager les ondes
positives » pour « arrêter d’avoir honte d’être Français ».
Eh bien cette
incitation au « partage » me fait encore plus honte, non seulement
parce que le « partage » est le mot-clé de Lucifer pour notre temps,
vous savez bien, celui qui éclaire les allopathes… Mais aussi parce que la
notion « new age » d’« ondes positives » me fait penser à
une nouvelle manipulation avec son vocabulaire pseudo-scientifique !
Rappelez-vous que je suis conscient que les mots sont des abstractions à
décoder…
Moins amusant : l’allopathie a
réussi à faire identifier travail et esclavage chez les jeunes…
Les manifs d’étudiants
contre le projet de droit du travail ont montré des interviews où les étudiants
imaginent que le travail est globalement nocif ! Il faut dire que depuis
que la gauche en donne une image effrayante en réduisant les durées
hebdomadaires et l’âge de la retraite, et en les présentant comme des
« acquis sociaux », ils ont eu largement le temps de ne pas regarder
à quoi ça correspond. D’autant que les conditions de travail ne sont
appétissantes que pour les sportifs de haut niveau dont on ne voit que les
salaires hallucinants, en oubliant qu’il a tout de même fallu qu’ils trottent
pour en arriver là… Mais ce n’est sûrement pas la réduction des temps de
travail qui va garantir la pérennité des entreprises, qui vont donc produire
moins instantanément, non plus que le paiement des retraites d’une société qui
vieillit aussi vite !
Quoi qu’il en soit, si
on a besoin d’un truc, il va bien falloir que quelqu’un le fabrique ! Et
la taille d’un smartphone comparée à celle des premiers ordinateurs qui avaient
besoin d’immeubles entiers traduit assez mal le boulot qu’il a fallu faire pour
en arriver là ! Et le travail n’est pas qu’une question de fric. C’est une
question de production de choses plus ou moins utiles, et des tas de tribus
primitives qui n’utilisent pas d’argent sont malgré tout obligées de
travailler, ne serait-ce que pour pécher, chasser ou cultiver.
En plus la gauche est
maintenant accusée de proposer de travailler plus pour gagner moins, une
maladresse qui ne fait qu’enfoncer le clou…
Alors en dégoûtant les
jeunes du boulot, la gauche aura enfin gagné et l’humanité aura tout perdu.
L’allopathie née avec Aristote aura mis 25 siècles à se généraliser, mais c’est
peut-être une victoire à la Pyrrhus : tous les ennemis sont morts, mais
c’était nous le champ de bataille.
Le gouvernement actuel
est un exemple caricatural d’allopathes avec des mecs et des gonzesses
incapables et qui ne le savent même pas ! Même mis devant les évidences de
leurs âneries. Mais ce n’est pas parce que c’est paroxystique que les
précédents étaient mieux, et on peut remonter fort loin !
L’humanité a dérapé
depuis le 5ème siècle avant J.-C., et si des envoyés divins comme
Jésus et Mahomet, qui nous ont visités depuis, n’ont pas réussi à corriger la
trajectoire, c’est probablement irréversible : on y tient à notre
connerie ! Et à ceux qui nous la fabriquent et la diffusent. Pourtant ça
serait simple de comprendre que les mots nous manipulent : il ne faut même
pas une dizaine de secondes pour s’en rendre compte ! Et quelques dizaines
d’années pour faire le tour des dégâts. Vous vous y mettez quand vous
voulez ! On est tous dans le même bateau…
Je ne m’imagine pas
qu’un simple post puisse changer grand chose après des siècles de manipulation,
mais comme disait la Petite Thérèse : « Je ne vous dis pas ça pour
vous convaincre, mais parce que j’avais à vous le dire ! »
D’autant que Salomon (4
siècles avant Aristote, et 9 avant le Christ) l’avait déjà écrit pour les
Occidentaux dans son Livre de la Sagesse (un sujet qui n’intéressait déjà
presque plus personne) : « EXAMINEZ TOUTES CHOSES ! », que
Saint Paul a repris en ajoutant « ET TENEZ-VOUS EN À CE QUI EST
VRAI ! ». Alors examinons au moins ce qui nous est suggéré !
Ex-aminer est un peu équivalent d’ex-traire ! Et que doit-on extraire de
toutes choses ? Ce qui est vrai ! La Vérité qui s’y cache ! Ce
qu’il faut révéler ! Or les mots ne sont que les noms des choses, et c’est
les CHOSES qu’il s’agit d’examiner !
Les mots ont une
signification : ils « font signe » ! Ne soyez pas
l’imbécile qui regarde le doigt du sage au lieu de la lune qu’il montre.
Occupez-vous de la Réalité et de sa Vérité, pas des jolis discours comme les
bavardages que vous avez subi à l’école, dans les bouquins, les journaux, la
propagande sous toutes ses formes. Ne laissez plus les mots vous trimbaler,
occupez-vous de ce qu’ils veulent dire !
À une époque je faisais
étudier les mots que les gens ne comprenaient pas ou mal. Mon pire client
n’était pas un débile léger mais un agrégé de philo ! Je n’y croyais pas,
bien que j’aie lu des textes qui laissaient à penser que la longueur des études
était une bonne indication de la profondeur des dégâts ! Mais c’était mon
premier agrégé : je manquais d’expérience…Il a passé trois soirées (9
heures en tout !) à hurler, à pleurer et à taper du pied contre les murs
en regardant une page blanche scotchée sur un mur, avant de pouvoir suivre le
processus habituel que je faisais faire aux étudiants et élèves qui
redoublaient ou triplaient leurs classes, et qui se retrouvaient premiers dans
toutes les matières au trimestre suivant ! Systématiquement ! À la
sortie de son « cours », mon agrégé a renvoyé son diplôme déchiré à
son académie avec un mot explicatif : « Vous avez bousillé ma
jeunesse »… !
Évitez de chercher à
décrypter les mots avec des copains, on est à peu près tous dans la même
mélasse et ce n’est pas des borgnes qui peuvent se guider les uns les autres.
Vous devrez vous en occuper et vous en sortir tout seul !
Un exercice pour
terminer en beauté : EXAMINEZ ce que veut dire le mot (ou le
chiffre, ou le nombre…) UN ! Son contexte : c’est la
métaphysique ! C’est donc loin d’être aussi facile que ce que vous croyez…
Mais ça vous donnera une bonne idée de ce qui vous attend. En tout cas c’est un
bon début : bonne chance pour vos nouvelles aventures…